Catégorie : [H]umeurs

De la bonne et de la mauvaise.. c’est selon..

24 février 2015

Parenthèse dans l’espace.

Références impalpables

Inutile éphémère.

tache de soleil

 

 

 

8 décembre 2014

Stick me in my heart

Sacrifice my heart how I want it
Crave the pain you give ‘Cause I need it
Claw away my skin then I see it
Losing all my mind ’til I find it
You are all that cuts and is biting

You are all the things that enlight me
Take away you’re here and I’m nothing
Just and empty hole
I am nothing
Take away my fear
Please do something
Everything that is
Is love about you

Stick me in my heart

Feeling you insane how I need it
Feeling all your pain
How I hold it
Crashing through your walls
Like a hammer
Smashing up the floors
Of your thinking
Pull me through the cracks when you’re sinking
Pull me how you like

God I’m trying
Seeing all your life
When it’s dying
Dragging me,
It kills when you’re fighting
Everything that is
Is love about you

Stick me in my heart so I feel it
Take me with your tears so I feel it
Sharing all your love
Now I feel it

Bring it back to life
I don’t feel it
(Stick me in my heart)
So I feel it
(Sharing all your love)
Now I feel it

17 novembre 2014
16 octobre 2014

En ces temps « modernes », combien de décisions sont elles encore prises à l’instinct ?
A t’on oublié qu’être « homme » c’est avant tout être « animal » ?

Lâchons la bride à tous nos instincts sauvages, et, comme le repos est un rêve, accablons de fatigues et de désespoirs à notre profit l’existence des autres âmes !.

George Sand

16 octobre 2014

Difficile de mettre des images sur cette « drôle » de période. Nous avons été assassinés de partout. Guerre des média, du voyeurisme, du buzz, du scoop, des messages opportuns, d’un gouvernement inutile castrateur et impuissant… J’ai entendu des propos ahurissants et mensongers, des personnes aigries de tous bords, jalouses ou simplement idiotes.

Peu de monde a vraiment cherché à comprendre le fond du problème, les rares d’entre eux ont été marginalisés et caricaturés, comme nous.

Alors à tous ceux qui pensent que nous avons défendu nos « privilèges » de « Nanti » pendant 16 -interminables- jours, je souhaite vous dire que je ne vous en veux pas.

 

29 juillet 2014

Dedicated to our friends watching us from above…

We all live in the clouds.
the softness and the madness
one day or
another.

 

24 mai 2014

Deux escales.

Une passion.

Mumbai

 

 

chicago.

 

24 mars 2014

Comme de nombreuses histoires, la notre a commencé dans un journal de petites annonces. Au milieu de toutes ces offres aguicheuses et silhouettes félines, je t’ai remarqué, discrète.

Tu ne fais pas dans la débauche, je l’ai senti tout de suite, j’aime ça. Pas de maquillage. Quelques rares lignes pour décrire la tienne, des mots choisis avec soin. J’ai senti que tu deviendrais une attache, mon amie, mon pote.
Avec toi il m’est arrivé d’hurler.
De pleurer, de jouir, de dormir,
de rire aussi.
Avec toi il m’a été permis de vivre, surtout.
J’ai déménagé, tu étais là. Soufflante et souffrante sous le poids des effets impersonnels. Tu as transporté ma vie d’un endroit à un autre, sans faire de commentaire. Sans me dire si je faisais un connerie. Tu étais là et tu m’a aidé, c’est tout.  En retour je t’ai emmené dans un vulgaire restau, au bord d’une autoroute sans teint. Tu as compris que j’étais crevé, qu’on ferait mieux plus tard. Tu ne t’es pas offusquée, tu n’es pas difficile et ça aussi j’aime bien.
Cinq ans. Il nous a fallu 5 années de travail acharné pour venir à bout de ce projet fou. Construire une maison. Avec ses mains, sa tête, ses nerfs. Quelques milliers d’aller retours, de chargements, déchargements. Des horaires inavouables, quelque soit la météo, mon humeur, les mauvaises surprises.
Tu as tellement de bonne volonté et d’astuce qu’on a porté ensemble des mètres cubes d’isolant, des tonnes de graviers, des centaines de mètres de charpente, une bétonnière une baignoire des tuiles…
Encore aujourd’hui, lorsque je regarde nos photos, c’est impensable.
Bien sûr, il y a eu toutes ces magnifiques escapades. On n’allait pas se laisser abattre par le placo !
Te souviens-tu d’une de nos nombreuses ascensions du Lautaret, de nuit en plein hiver ?
Des mètres ! Il y avait des mètres de neige. Le vent soufflait tellement fort qu’il nous faisait glisser d’un coté à l’autre de la route gelée. Il fallait afficher une dérive, comme en avion !
On ne voyait rien.
Nous étions seuls, devant le chasse neige. Et effectivement nous nous sommes demandés ce que nous faisions là. Une sorte d’exploit personnel, futile et éphémère. Nous étions des explorateurs.
Parfois nous avions de belles galères. Comme cette fois ou par excès d’orgueil je nous ai planté dans un bas coté d’une route enneigée (encore) et j’ai du sacrifier ma slack et deux-trois mousquetons d’escalade pour te sortir de ce mauvais pas.
Cette fois encore ou nous nous amusions, comme deux adolescents sur le parking d’un vulgaire centre commercial au sud de Paris. A nous prendre pour des champions de rallye sur la surface couverte d’une épaisse couche de neige. Et oui, je te vois sourire. Ca ma couté 2 jantes et un parallélisme. Il faut dire qu’il était bien caché, ce trottoir !
Bien sûr tu as eu tes humeurs. Qui n’en n’a pas ? Cet embrayage fragile qui a implosé en passant Auxerre, sur la voie de gauche de l’autoroute. Tu aurais pu choisir un autre moment pour nous faire une scène de pignons.
Ces trois bris de glaces, en moins d’un an, qui nous ont valu une injuste éviction de la gmf et un petit tour chez la fille aux gros seins d’SOS malus. Ces trois années de punition nous ont couté bien cher, mais il fallait  rouler encore et écrire nos aventures !
Et on ne regrette rien, non ? Les virées à Rigny pour aller faire un coup de parapente, les sorties VTT, les participations à tous ces trails estivaux sur lesquels tu m’offrais le gite et le presque couvert.
Ces fois où, moqueuse, tu me faisais remarquer que j’avais du plâtre sur mon uniforme, en partant bosser. Tu me laissais un petit souvenir pour que je pense à toi. C’était ton post IT sur le frigo.
Et puis ensemble nous pouvions réfléchir. Tu m’offrais un écrin hors du temps pour laisser mes pensées diverger. Quand je rentrais malheureux au milieu de la nuit, les yeux embrumés par un coeur chahuté, tu prenais soin de moi et m’empêchais de rouler trop vite…
Après toutes ces tempêtes, ces paysages incroyables, ces silences…. tu as décidé qu’il était temps d’y mettre un terme. De rester sur tous ces souvenirs magiques. Peut être avais tu peur que je me lasse ou que je prenne conscience de ton âge. Permet moi de te dire que, même si je respecte ton choix, je t’aurais accompagné jusqu’au bout. Tout ce que tu représentes ne pourra jamais vieillir puisque ce sont des pensées mêlées de sensations au creux de mon esprit.
J’ai surtout appris grâce à toi ce qui fait la beauté d’un objet.
Ce n’est pas toujours l’objet en lui même mais surtout ce que nous en faisons.
Adieu, Joy Machine !

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21 mars 2014

Jeb

« […] help remind me that you have zero control over when you die. It can come at any moment. The real question isn’t if you will die or even when. The real question is what are you going to do with that limited time you get to be alive… »

Jeb Corlis.

21 mars 2014

Everything is tragic
It all just falls apart
But when I look into your eyes
It pieces up my heart

If I only had an answer
To put it all to bed
I wish sometimes I could take back
Every word I’ve said
I walk back in the night alone
Got caught up in my song
Forgot where I was sleeping
None of the lights were on
I heard my mother thinking me right back into my birth
I laughed so loud inside myself it all began to hurt

So I turned on a picture show
I disappeared the lines
As memories came flooding in
The tears blew out my eyes

I see an elevator
A moment I am above
I look for you or someone
Who can still remind me of
The tight grip and the sun lick
And the calm way of all things summer
When it’s all here
And it’s all new
And you’re not hungover

Fierce and light and young
Fierce and light and young
When you don’t know that you’re wrong
Or just how wrong you are

My feet are always heavy
As I head toward the door
I thought we’d leave this for ourselves a hundred times before
But I guess we’re always leaving even when we look the same
and it eases me somehow to know that even this will change

If you’ve still got some light in you then go before it’s gone
Burn your fire for no witness it’s the only way it’s done
Fierce and light and young
Fierce and light and young
Hit the ground and run
Hit the ground and run