Dans le brouhaha ambiant, peu de temps est accordé au silence. Peur du vide, insatiable, insatisfait. Toujours ce bruit, ce besoin de remplir, de divertir. Et pourtant. Tant de poésie résonne au creux d’un non dit, d’une pause, d’un répit…
Allongé à même le sol. Je m’accorde un instant de néant.
Bienfaiteur.
Et les mots de Chateaubriand font surface :
« Non que l’été soit maintenant moins doux qu’il était quand les hymnes mélancoliques du rossignol silenciaient la nuit ! «
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