Un air de Lhasa,
Une brise, un souffle et cetera
vibrante, tactile fragile, puissante.
Tu es mélancolie.
tu es-poir,
tu laisses choir.
Comme une rumeur
au fond d’un bar;
ou de la Haine,
dans un couloir.
Traines ta tristesse
ton désespoir.
Avec force,
finesse,
comment te croire ?
Tes mélodies enivrantes
et cette voix, si chevrotante !
Tu es ivre et persistante.
A l’aube d’une nouvelle année.
Un nouvel horizon,
ton décès.
Lhasa de Sela
Ta voix. le Monde. Vivra.
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